26 janvier 2010
Qui me brule les joues. La coloc pianote
Qui me brule les joues. La coloc pianote doucement et cherche les notes aussi fort que ces putains de papiers, tellement indispensables qu'on en chialerait quand on arrive pas à mettre la main dessus. Mano Solo qui tourne derrière. Mais qui tape bien plus qu'un fond sonore. J'ai la tête dans mon verre de rhum, qui jamais ne se videra, j'en ai bien l'impression. J'ai envie d'te dire, qu'il est pas tard, tu sais, parce que même si t'as un train d'retard, au moins t'en as plus qu'un. On finira par y arriver, par se retrouver sur le même quai, à s'manger la gueule. J'te l'dis moi, j'l'ai vu !
Y a pas de drames tu sais. Des étoiles, il y en aura d'autres. Dans tes yeux, sur mes mains. Partout.
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