31 juillet 2009
Infernale la fuite intense incessante. Sa main
Infernale la fuite intense incessante. Sa main m’emporte vite le brouillard ignorant la finalité. Dans le tourbillon hurler la peur de l’abandon toujours la nuit, froide. Intérieurement la solitude éreintante me dévisage. Les murs résonnent sous la puissance de mes coups rythmiquement corrects, paniqués. En sueur la lumière tic-tac.
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